De nombreux travailleurs sont concernés, car ils sont parfois amenés à faire des tâches sur ou à proximité des installations électriques.
Aussi être un salarié électricien n’est plus le seul critère dans la nécessité d’avoir et de pouvoir présenter une habilitation électrique. En effet, la distinction se fait désormais par rapport aux tâches effectuées. Cela peut aller du simple fait de changer une ampoule et d’allumer un disjoncteur, à des tâches plus complexes tel que la maintenance en électricité. L’habilitation électrique varie selon le niveau d’habilitation souhaitée, que ce soit pour un salarié, un électricien, un chef d’équipe, ou un technicien d’équipement en électricité. Après la formation, les personnes habilitées continuent d’évoluer grâce au “recyclage”, c’est-à-dire des mises à jour régulières (recommandées 3 ans), afin de conserver leurs compétences.
Parmi les salariés non-électriciens, on peut citer par exemple les plombiers, les peintres, où les menuisiers, les mécaniciens pour véhicules électriques : exemple : pose d’appareillage électrique, de prise de courant, de raccordement basique de chauffe-eau, ou de ballon électrique, pose de pompe à chaleur électrique, etc. Il doivent être formés au minium au risque de voisinage des pièces nues sous tension.